Médicaments, drogue et alcool au volant

La tragédie de Millas (Pyrénées, France) du 15 décembre 2017, qui a fait six jeunes victimes dans une collision entre un autocar scolaire et un train, nous rappelle à quel point le respect de la sécurité routière est primordial.

En France et dans de nombreux autres pays, la loi interdit de manger, fumer ou téléphoner au volant. Essayons de comprendre pourquoi.

Médicaments, alcool et conduite

S’il est évident que les femmes peuvent prendre la pilule sans risque, de nombreux autres médicaments sont à proscrire. Il convient d’une part d’éviter les médicaments qui font dormir ou somnoler. De même, il est préférable d’éviter les aspirines ou tout autre anticoagulant. Selon Planète Conduite, ceux-ci peuvent en effet provoquer des complications en cas d’accidents (même légers) et aider à l’hémorragie (interne/externe).

Les effets d’un comprimé d’aspirine ou autre anticoagulant peuvent faciliter l’hémorragie en cas de coupure importante. Le risque est encouru durant environ trois semaines après la prise d’un comprimé. Enfin, il faut bien entendu éviter les médicaments qui provoquent des nausées ou des vertiges. Dans tous les cas, nous recommandons de consulter son médecin en cas de doute.

En conclusion

Il va de soi qu’il est totalement interdit et dangereux d’absorber quelque drogue, cannabis et autres produits illicites que ce soit, y compris soixante-douze heures avant de prendre la route. En ce qui concerne l’alcool, il s’agit de la première source de mortalité au volant en France, avant la vitesse.

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